Les chirurgiens orthopédistes sont régulièrement mis en cause, parfois pour des complications inévitables, souvent pour des raisons mal comprises par les patients. Dans ce climat tendu, exercer sans filet devient un pari risqué. Une couverture RCP pour un orthopédiste libéral est alors un impératif, elle lui permet d’exercer au bloc sereinement. Car derrière le bistouri, il y a un homme, une femme, et une grande responsabilité. Et cette responsabilité mérite d’être défendue en cas de litige.
La couverture RCP pour un orthopédiste libéral, une réponse aux mises en cause fréquentes
Les mises en cause en chirurgie orthopédique ne sont pas rares. Elles sont devenues presque mécaniques., Un orthopédiste libéral est confronté à une procédure tous les 22 mois en moyenne. Cela peut concerner une plainte isolée ou alors une action groupée. Parfois, plusieurs confrères sont impliqués, d’autres fois, ce sont des spécialistes d’horizons différents. Alors, les responsabilités s’entrecroisent, avec des conséquences juridiques pour les différents praticiens.
La couverture RCP orthopédiste libéral devient donc une ligne de défense. Un spécialiste de l’assurance professionnelle des médecins, comme Branchet, a pris la mesure de cette réalité. En plus de couvrir les dommages, il accompagne et défend le praticien mis en cause. Pour cela, il mobilise des avocats, des experts et des médecins.
Tous parlent le même langage que l’assuré, car tous connaissent les subtilités du bloc, les risques du métier et les pièges médico-légaux. La couverture inclut aussi une assistance à toute heure, une protection juridique et la couverture des remplaçants de l’orthopédiste libéral.
Anticiper l’impossibilité d’exercer pour un orthopédiste libéral
Une main engourdie, une épaule raide, un poignet douloureux. Pour d’autres, ce serait un contretemps. Pour un chirurgien orthopédiste, c’est un signal d’alarme. Car dans une spécialité où la précision des gestes fait partie intégrante du métier, la moindre atteinte fonctionnelle peut compromettre des années de formation et d’expérience.
Sans protection adaptée, les conséquences financières peuvent être lourdes. Pour pallier les problèmes de ce type, la couverture RCP d’un orthopédiste libéral s’accompagne souvent d’une assurance prévoyance. Celle-ci intègre les risques physiques liés à la pratique au bloc, et prévoit alors une compensation des pertes de revenus liés à un arrêt temporaire ou définitif.
Une couverture RCP adaptée à la pratique du chirurgien orthopédiste
Chaque situation est différente et chaque intervention a ses spécificités. C’est pourquoi une couverture RCP pour un orthopédiste libéral ne peut pas être standardisée. Elle doit s’adapter à la réalité du bloc, aux nouvelles technologies, à la fréquence des opérations, aux types d’actes réalisés, au statut du praticien, qu’il soit installé seul ou au sein d’une structure. Car les risques ne sont jamais les mêmes, et les besoins en protection non plus.
Si la couverture RCP d’un chirurgien orthopédiste en libéral est figée ou mal calibrée, elle peut laisser des angles morts. Et ces angles morts, dans un contexte de mise en cause, deviennent des failles. Le chirurgien doit donc s’entourer de garanties qui couvrent l’ensemble de son activité, comme ses actes réalisés en clinique, ses interventions en établissement public, ses remplacements ponctuels ou ses vacations à l’hôpital.
Mais au-delà des garanties sur le papier, c’est aussi la réaction en cas de litige qui compte. Être bien couvert, c’est pouvoir compter sur une défense rapide, compétente, et adaptée aux enjeux médicaux. C’est ce qui permet à l’orthopédiste libéral, en cas de coup dur, de continuer à exercer.